Une journée à Hockenheim
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PREVOT
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Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 11:44
Une journée à Hockenheim
HOCHENHEIM, nom qui se prête bien à la compétition automobile Championnat du Monde de Formule 1, DTM, motos et autres.
Nous nous mettons en route avec Jérôme, ce vendredi direction l’Allemagne. Mais pour y faire quoi. Il y a bien une piste de voiture RC au pied de la tribune Mercedes, mais ce n’est pas pour de la RC.
Distant d’environs 150 kms, nous mettons environs 1.30 h pour rejoindre le circuit non sans avoir été verbalisé par la Polizei allemande, pas bien çà.
Jérôme a un de ses proches amis prénommés Nico, que certains qui pratiquent la voiture RC connaissent bien pour avoir optimisé leur voiture échelle 1. En effet sa société DIGITRONIC PERFORMANCE (http://www.digitronic-performance.fr) est spécialisée dans le gestion des moteurs, cela va de la Twingo à la LAMBORGHINI, FERRARI ou PORSCHE.
Porsche, voilà ce qui nous amène au sujet évoqué et à Hockenheim. Nico vient d’acquérir une Porsche GT3, en version sport , c'est-à-dire typée circuit, arceau, pneus et quelques bricoles dont l’optimisation de son moteur qui passe le cap des 400 cv.
La semaine dernière, nous faisons une petite virée sur les routes alsaciennes, sinueuses et bossélées, cela va très vite, mais la voiture net pas faite pour cela.
Donc on revient à Hockenheim. Une association sportive loue le circuit pour la journée 1 à 2 fois par an, avec commissaires, sécurité, dépannage, etc.. Remarquable organisation , tout est parfait sauf la bouffe, ah ces français s’ils n’ont pas leurs petits sandwich parisien. On fait avec.
Le quota des pilotes est limité à 120, en 3 catégories : voiture tourisme comme celle de Nico, voitures de course, monoplace, barquettes et voitures équipées de pneus slicks, et la 3e les karts. On vient de très loin pour rouler, comme les hollandais, des italiens et bien sûrs les français, la plupart sur Porsche.
Pour parler des karts, très impressionnant avec les modèles types carénés avec aileron, 200/250 kms/h en ligne droite, de quoi avoir des frissons en les voyant évoluer ce circuit. Un peu fêlé, pas droit à l’erreur.
Il y a 5 sessions de roulage de 40 minutes pour chaque pilote et tous sont sur la piste par catégories soit environ 40/60 voitures en fonction. La première session est faite par Nico seul à bord, beaucoup de monde sur le tracé et cela créée parfois des situations de peloton en début, après cela s’étire progressivement. Première session pour prendre les repaires et trajectoires, mette la voiture en condition optimale. Il s’arrête pour descendre la pression de 1 bar sur ces pneus qui sont du type route/circuit homologués. La voiture avait un mauvais comportement en courbe, vite résolu.
Pour la 2e session, il prend Jérôme à son bord, celui-ci découvre un environnement que nous ne maîtrisons pas du tout, et c’est parti pour 40 minutes de souffrances ou de plaisir, on va dire les 2. Le temps de monter les pneus en température, et ensuite c’est le pied dedans dès que la piste le permet, trajectoires, vibreurs corde tout la panoplie du pistard y passe. Après quelques tours, Nico demande à Jérôme si cela va, oui mais un peu mal au ventre, mais ils continuent.
A sa descente, je lui demande ses impressions, en fait les apréhensions et son petit gargouillis, ce n’est pas du à la vitesse, mais surtout au freinage appuyés comme celui ou on passe de 250 à 70 kms. A jeûn depuis la veille au soir…..
Je suis de la 3e session, après la pause. Nous en profitons pour nous restaurer, tant qu’à faire autant avoir quelque chose dans l’estomac. Petite barquette de frite avec une saucisse bien de chez eux.
Voilà c’est bien mon tour et je ne suis pas trop rassuré, et si par hasard on me perdait avant le départ, cela ne serait pas bien grave. Mais non, le pilote m’attend dans sa voiture, casqué. Je mets le casque bien trop grand, pas le temps de régler la sangle que nous voilà dans le pit-line, nous nous engageons sur le circuit et un premier tour sans dépasser les 200 km/h et en prenant soin de chauffer les disques, Nico est un perfectionniste. Après une mise en jambe, il commence à attaquer, on prend la ligne droite des stands on est à 255 kms/h, pas très vite sa voiture est équipée d’une boite longue qui lui permet d’atteindre les 305 kms/h, mais le circuit ne le permet pas. Gros freinage pour arriver à ce fameux virage 90°, en moi-même je me dis c’est impossible le voiture ne va jamais tournée, et bien si et heureusement d’ailleurs, on est passé de 255 à 70 kms/h sur une courte distance et c’est la point fort de cette Porsche. Je ressens le même malaise que Jérôme, c’est du à ce freinage, mais bon cela va et au bout de quelques tours, je prends même le temps de me comparer à un navigateur en gardant les yeux sur mes genoux pour voir l’effet, cela n’a pas duré au bout de quelques virages, j’ai bien repris mon champ de vision normal. Chapeau les co-pilotes.
On arrive dans les enchainements du « stadium », en pleine accélération, il met les roues sur le vibreur droit pour ressortir sur le gauche. C’est assez impressionnant et nous en discutons à l’intérieur de la voiture dans laquelle il fait chaud, je transpire sous mon casque, peut-être la peur, non, il y a pas de quoi paniquer. Le plus surprenant, c’est tout ce petit monde qui s’éclate comme des enfants avec leurs jouets en toute sécurité et fair-play.
Les yeux du pilote sont constamment rivés à la piste bien entendu mais également dans les rétros, car il faut le souligner, il y a des plus rapides. Quand dans les rétros vous voyez du rouge, c’est la Ferrari 360 Modena Challenge Stradale, vous mettez le clignotant pour indiquer votre trajectoire, celle que vous allez garder, ou alors la Ferrari noire 468 Italia – 560 cv – avec l’aisance dont in nous a doubler, il devait être à plus de 300, d’ailleurs il a du nous mettre 2/3 tours dans la vue.
Pour ce qui est des trajectoires, la règle est bien établit lors du briefing le matin, le pilote qui est sur la trajectoire la garde. J’en ai fait l’expérience, nous étions à l’extérieur sur la trajectoire en ligne droite, pour plonger à la corde dans un virage. A un moment pas le rétroviseur de mon côté, j’ai vu une Porsche GT2 noire, dernier cri, porter une attaque, mais Nico n’a pas broncher et à garder sa trajectoire, et bien l’autre Porschiste à du bien freiner et attendre que la vois se libère ou passer à autre part. Il faut quand même relever qu’il y a des furieux, comme son copain qui à également une Porsche GT3, mais boite courte et qui nous attendais pour chercher le bagarre. L’ayant vu à l’œuvre, Nico me disait qu’un jour il allait se ramasser. Une voiture sur la trajectoire, une Caterham plus lente au milieu et bien il est passé le long du murets des stands derrière le quel j’étais abrité.
D’ailleurs en passant devant la ligne des stands, une NISSAN GTR en ressort, 50 m devant nous, nous prenons une courbe aux environs de 180/200 kms/h, pour arriver au freinage à 90°, la Nissan GTR part à la faute dans le gravier, pneus froid. Plus tard une MERCEDES 65 AMG (612 cv) est dans l’herbe et en ressort après avoir fait du labour.
Durant ces 40 minutes que je n’ai d’ailleurs pas vu passées, Nico me disait qu’il avait un coup de fatigue, je lui proposait de prendre le volant , ce qu’il a gentiment refusé, petit coup de fatigue, qui s’est vite estompé, et c’est reparti de plus belle, du vrai bonheur.
A un moment, et je n’en croyais pas mes yeux, un Combi Volkswagen devant nous, pratiquement impossible à le chercher. Après renseignement, il s’avère que ce pilote ou Mac Gyver, a monté moteur et transmission de Porsche sur son combi.
Le drapeau à damier met fin à ce plaisir et nous terminons notre tour au ralenti comme d’ailleurs tous les autres, interdiction formelle de doubler et surtout cela permet à tous les organes mécanique comme le moteur et freins de descendre progressivement en température.
Donc une belle journée qui m’a permis de découvrir cet environnement Porsche sur circuit. Une voiture puissante et saine, Nico me disait quand elle est prise en défaut c’est trop tard tu es dans le gravier ou les rails. Nous n’avons pas été jusque là, car le pilote est serein et ne voulant pas dépasser les limites.
Très bonne impression et certainement un rendez-vous sur le circuit de Dijon-Prenois.
Nous serons également à Hockenheim, dans le cadre du DTM le week end du 17 octobre, dans les stands avec Markus Michelberger, ingénieur du pilote espagnol Miguel MOLINA au sein du Team ABT sur Audi. MM qui n’est autre que le concepteur du différentiel Powerlook que nous utilisons sur nos voitures RC de piste, ainsi que de nombreuses pièces carbone comme les ailerons.
A bientôt
Dominique
http://picasaweb.google.com/scrat67
Plus de 2600 photos, dont un reportage de la Course de Côte de La Broque avec des photos de Lionel REGAL, que nous avons perdu le week end dernier lors de la course de Ursanne en Suisse
HOCHENHEIM, nom qui se prête bien à la compétition automobile Championnat du Monde de Formule 1, DTM, motos et autres.
Nous nous mettons en route avec Jérôme, ce vendredi direction l’Allemagne. Mais pour y faire quoi. Il y a bien une piste de voiture RC au pied de la tribune Mercedes, mais ce n’est pas pour de la RC.
Distant d’environs 150 kms, nous mettons environs 1.30 h pour rejoindre le circuit non sans avoir été verbalisé par la Polizei allemande, pas bien çà.
Jérôme a un de ses proches amis prénommés Nico, que certains qui pratiquent la voiture RC connaissent bien pour avoir optimisé leur voiture échelle 1. En effet sa société DIGITRONIC PERFORMANCE (http://www.digitronic-performance.fr) est spécialisée dans le gestion des moteurs, cela va de la Twingo à la LAMBORGHINI, FERRARI ou PORSCHE.
Porsche, voilà ce qui nous amène au sujet évoqué et à Hockenheim. Nico vient d’acquérir une Porsche GT3, en version sport , c'est-à-dire typée circuit, arceau, pneus et quelques bricoles dont l’optimisation de son moteur qui passe le cap des 400 cv.
La semaine dernière, nous faisons une petite virée sur les routes alsaciennes, sinueuses et bossélées, cela va très vite, mais la voiture net pas faite pour cela.
Donc on revient à Hockenheim. Une association sportive loue le circuit pour la journée 1 à 2 fois par an, avec commissaires, sécurité, dépannage, etc.. Remarquable organisation , tout est parfait sauf la bouffe, ah ces français s’ils n’ont pas leurs petits sandwich parisien. On fait avec.
Le quota des pilotes est limité à 120, en 3 catégories : voiture tourisme comme celle de Nico, voitures de course, monoplace, barquettes et voitures équipées de pneus slicks, et la 3e les karts. On vient de très loin pour rouler, comme les hollandais, des italiens et bien sûrs les français, la plupart sur Porsche.
Pour parler des karts, très impressionnant avec les modèles types carénés avec aileron, 200/250 kms/h en ligne droite, de quoi avoir des frissons en les voyant évoluer ce circuit. Un peu fêlé, pas droit à l’erreur.
Il y a 5 sessions de roulage de 40 minutes pour chaque pilote et tous sont sur la piste par catégories soit environ 40/60 voitures en fonction. La première session est faite par Nico seul à bord, beaucoup de monde sur le tracé et cela créée parfois des situations de peloton en début, après cela s’étire progressivement. Première session pour prendre les repaires et trajectoires, mette la voiture en condition optimale. Il s’arrête pour descendre la pression de 1 bar sur ces pneus qui sont du type route/circuit homologués. La voiture avait un mauvais comportement en courbe, vite résolu.
Pour la 2e session, il prend Jérôme à son bord, celui-ci découvre un environnement que nous ne maîtrisons pas du tout, et c’est parti pour 40 minutes de souffrances ou de plaisir, on va dire les 2. Le temps de monter les pneus en température, et ensuite c’est le pied dedans dès que la piste le permet, trajectoires, vibreurs corde tout la panoplie du pistard y passe. Après quelques tours, Nico demande à Jérôme si cela va, oui mais un peu mal au ventre, mais ils continuent.
A sa descente, je lui demande ses impressions, en fait les apréhensions et son petit gargouillis, ce n’est pas du à la vitesse, mais surtout au freinage appuyés comme celui ou on passe de 250 à 70 kms. A jeûn depuis la veille au soir…..
Je suis de la 3e session, après la pause. Nous en profitons pour nous restaurer, tant qu’à faire autant avoir quelque chose dans l’estomac. Petite barquette de frite avec une saucisse bien de chez eux.
Voilà c’est bien mon tour et je ne suis pas trop rassuré, et si par hasard on me perdait avant le départ, cela ne serait pas bien grave. Mais non, le pilote m’attend dans sa voiture, casqué. Je mets le casque bien trop grand, pas le temps de régler la sangle que nous voilà dans le pit-line, nous nous engageons sur le circuit et un premier tour sans dépasser les 200 km/h et en prenant soin de chauffer les disques, Nico est un perfectionniste. Après une mise en jambe, il commence à attaquer, on prend la ligne droite des stands on est à 255 kms/h, pas très vite sa voiture est équipée d’une boite longue qui lui permet d’atteindre les 305 kms/h, mais le circuit ne le permet pas. Gros freinage pour arriver à ce fameux virage 90°, en moi-même je me dis c’est impossible le voiture ne va jamais tournée, et bien si et heureusement d’ailleurs, on est passé de 255 à 70 kms/h sur une courte distance et c’est la point fort de cette Porsche. Je ressens le même malaise que Jérôme, c’est du à ce freinage, mais bon cela va et au bout de quelques tours, je prends même le temps de me comparer à un navigateur en gardant les yeux sur mes genoux pour voir l’effet, cela n’a pas duré au bout de quelques virages, j’ai bien repris mon champ de vision normal. Chapeau les co-pilotes.
On arrive dans les enchainements du « stadium », en pleine accélération, il met les roues sur le vibreur droit pour ressortir sur le gauche. C’est assez impressionnant et nous en discutons à l’intérieur de la voiture dans laquelle il fait chaud, je transpire sous mon casque, peut-être la peur, non, il y a pas de quoi paniquer. Le plus surprenant, c’est tout ce petit monde qui s’éclate comme des enfants avec leurs jouets en toute sécurité et fair-play.
Les yeux du pilote sont constamment rivés à la piste bien entendu mais également dans les rétros, car il faut le souligner, il y a des plus rapides. Quand dans les rétros vous voyez du rouge, c’est la Ferrari 360 Modena Challenge Stradale, vous mettez le clignotant pour indiquer votre trajectoire, celle que vous allez garder, ou alors la Ferrari noire 468 Italia – 560 cv – avec l’aisance dont in nous a doubler, il devait être à plus de 300, d’ailleurs il a du nous mettre 2/3 tours dans la vue.
Pour ce qui est des trajectoires, la règle est bien établit lors du briefing le matin, le pilote qui est sur la trajectoire la garde. J’en ai fait l’expérience, nous étions à l’extérieur sur la trajectoire en ligne droite, pour plonger à la corde dans un virage. A un moment pas le rétroviseur de mon côté, j’ai vu une Porsche GT2 noire, dernier cri, porter une attaque, mais Nico n’a pas broncher et à garder sa trajectoire, et bien l’autre Porschiste à du bien freiner et attendre que la vois se libère ou passer à autre part. Il faut quand même relever qu’il y a des furieux, comme son copain qui à également une Porsche GT3, mais boite courte et qui nous attendais pour chercher le bagarre. L’ayant vu à l’œuvre, Nico me disait qu’un jour il allait se ramasser. Une voiture sur la trajectoire, une Caterham plus lente au milieu et bien il est passé le long du murets des stands derrière le quel j’étais abrité.
D’ailleurs en passant devant la ligne des stands, une NISSAN GTR en ressort, 50 m devant nous, nous prenons une courbe aux environs de 180/200 kms/h, pour arriver au freinage à 90°, la Nissan GTR part à la faute dans le gravier, pneus froid. Plus tard une MERCEDES 65 AMG (612 cv) est dans l’herbe et en ressort après avoir fait du labour.
Durant ces 40 minutes que je n’ai d’ailleurs pas vu passées, Nico me disait qu’il avait un coup de fatigue, je lui proposait de prendre le volant , ce qu’il a gentiment refusé, petit coup de fatigue, qui s’est vite estompé, et c’est reparti de plus belle, du vrai bonheur.
A un moment, et je n’en croyais pas mes yeux, un Combi Volkswagen devant nous, pratiquement impossible à le chercher. Après renseignement, il s’avère que ce pilote ou Mac Gyver, a monté moteur et transmission de Porsche sur son combi.
Le drapeau à damier met fin à ce plaisir et nous terminons notre tour au ralenti comme d’ailleurs tous les autres, interdiction formelle de doubler et surtout cela permet à tous les organes mécanique comme le moteur et freins de descendre progressivement en température.
Donc une belle journée qui m’a permis de découvrir cet environnement Porsche sur circuit. Une voiture puissante et saine, Nico me disait quand elle est prise en défaut c’est trop tard tu es dans le gravier ou les rails. Nous n’avons pas été jusque là, car le pilote est serein et ne voulant pas dépasser les limites.
Très bonne impression et certainement un rendez-vous sur le circuit de Dijon-Prenois.
Nous serons également à Hockenheim, dans le cadre du DTM le week end du 17 octobre, dans les stands avec Markus Michelberger, ingénieur du pilote espagnol Miguel MOLINA au sein du Team ABT sur Audi. MM qui n’est autre que le concepteur du différentiel Powerlook que nous utilisons sur nos voitures RC de piste, ainsi que de nombreuses pièces carbone comme les ailerons.
A bientôt
Dominique
http://picasaweb.google.com/scrat67
Plus de 2600 photos, dont un reportage de la Course de Côte de La Broque avec des photos de Lionel REGAL, que nous avons perdu le week end dernier lors de la course de Ursanne en Suisse
AlainModérateur- Nombre de messages : 15050
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Prénom : Alain
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Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 12:00
Merci pour ce superbe reportage Dominique 
On s'y croirait
Les photos sont magnifiques et on voit aussi que les pilotes s'en donne à coeur joie
As tu récupéré ton 4X4 (le vrai)
A+
Alain
On s'y croirait
Les photos sont magnifiques et on voit aussi que les pilotes s'en donne à coeur joie
As tu récupéré ton 4X4 (le vrai)
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Alain
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Faut pas m'énerver !!!!
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- PREVOT
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Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 12:09
le vrai 4x4, ainsi que la caravane m'on été rapatriés jeudi, maintenat direction le garage, pour voir ce qu'il a
Léopard 68Appui au sol- Nombre de messages : 12389
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Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 12:19
Magnifique Dominique. 
......Allé avoues;;as-tu tapissé la planche de bord avec ta Francfort/fritte Et au combientième tour .... 
@+ Serge
......Allé avoues;;as-tu tapissé la planche de bord avec ta Francfort/fritte Et au combientième tour .... @+ Serge
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.......Du Cross-Control en 1989..........au LOSI 5ive aujourd'hui.......
Guy Gourmelon (1957-24/12/2010) fondateur du " Mini Bolide 68 "
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Maiki- Nombre de messages : 602
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Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 12:22
Super ton reportage!! ca donne envie!
- PREVOT
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Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 14:07
Pour répondre à LEO 68, tu devrais savoir qu'un alsacien il avale mais ne rechrache pratiquement jamais 
François marieAppui technique- Nombre de messages : 1388
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Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 15:01
PREVOT a écrit:Pour répondre à LEO 68, tu devrais savoir qu'un alsacien il avale mais ne rechrache pratiquement jamais
salut,
c pour ça ke j'adore plutot les Alsaciennes moooooi......
djack 68- Nombre de messages : 1502
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Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 20:15
une gt 3 un réve , que j'espére réalité d'ici peu 
nagazaki- Nombre de messages : 5109
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Date d'inscription : 27/03/2008
Re: Une journée à Hockenheim
Sam 21 Aoû 2010, 20:16
c'est pour ça que SERGIO se porte si bien!!PREVOT a écrit:Pour répondre à LEO 68, tu devrais savoir qu'un alsacien il avale mais ne rechrache pratiquement jamais
sousou33Admin- Nombre de messages : 18129
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Re: Une journée à Hockenheim
Lun 23 Aoû 2010, 18:21
Salut,
Terrible tout ça Dominique!!!
t'as vraiment de la chance de pouvoir côtoyer le monde de la compétition auto comme ça!!!
En tout cas, super reportage!
Allez, je vais vite voir les photos!
@+
Terrible tout ça Dominique!!!
t'as vraiment de la chance de pouvoir côtoyer le monde de la compétition auto comme ça!!!
En tout cas, super reportage!
Allez, je vais vite voir les photos!
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Benjamin
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- Léopard 68Appui au sol
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Re: Une journée à Hockenheim
Lun 23 Aoû 2010, 21:12
La meilleure ,c'est que c'est vrai DominiquePREVOT a écrit:Pour répondre à LEO 68, tu devrais savoir qu'un alsacien il avale mais ne rechrache pratiquement jamais
Sacré Francois Marie .François marie a écrit:PREVOT a écrit:Pour répondre à LEO 68, tu devrais savoir qu'un alsacien il avale mais ne rechrache pratiquement jamais
salut,
c pour ça ke j'adore plutot les Alsaciennes moooooi......
.. Stéphanne sait de quoi il parlenagazaki a écrit:c'est pour ça que SERGIO se porte si bien!!PREVOT a écrit:Pour répondre à LEO 68, tu devrais savoir qu'un alsacien il avale mais ne rechrache pratiquement jamais
Vivement un rencard forum fgmarder BENJAMIN - sousou33Admin
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Re: Une journée à Hockenheim
Lun 23 Aoû 2010, 22:41
J'y pense Serge, j'y pense!!!!
@+
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bernardini- Nombre de messages : 395
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Re: Une journée à Hockenheim
Lun 23 Aoû 2010, 22:52
cool
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